AFRIQUE • Sale temps pour les journalistes
"Subversion, divulgation de secrets d'Etat et actes contre les intérêts nationaux sont les accusations les plus communément utilisés pour emprisonner des journalistes", précise le journal sénégalais Sud Quotidien. Il ajoute que l'Erythrée, l'Ethiopie et la Gambie vont bien au-delà puisque les journalistes qui y sont détenus le sont sans aucune accusation formelle. La situation est particulièrement dramatique en Erythrée où quatre journalistes sont détenus dans des lieux secrets depuis plusieurs années, sans qu'aucune information ne filtre sur leur état de santé.